Découvre la ville (libre)

Paris était allait faire du shopping. Elle avait déjà fait de nombreux achat pourtant on pouvait voir qu'elle ne tenait aucun paquets. On aurait put penser que quelqu'un le lui portait, normale pour un princesse, mais en faite non. Elle n'avait pas de paquet car elle ne portait pas de prêts à porté. Paris ne m'était que des choses unique fait sur mesure. Elle se rendez vers l'un des ateliers de Elie Saab à New York quand son portable sonna. Elle regarda le numéros vis afficher sur l'écran : Lady Di 2. Elle afficha un sourire et répondit. C'était Kate Middleton à l'apareille, la fiancée du Prince William d'Angleterre. Celle ci lui demandait si elle avait reçu la carte d'invitation de la soirée de bienfaisance qu'elle organisait afin de se faire bien voire par Elisabeth, la grand mère de son amant. Paris lui répondit qu'elle l'avait bien reçu. Quoiqu'elle aurait aimait qu'une telle horreur se perde. La couleur du papier était horrible. kate aurait pu choisir une autre couleur que le bleu nuit avec des lettres noires. Il fallait avoir des yeux extremement bon pour pouvoir lire ce qui y était ecrit. Enfin, Peut etre un jour elle sera a la auteur ... Paris lui disait qu'elle ferait tous pour venir et detourna sur le sujet de Pierre Casiraghi, le fils de Caroline de Monaco. Elle voulait savoir ci se derniere viendrait lui aussi a la récépetion. Kate allait lui repondre quand une gourde de bonne femme lui rentra dedans. Elle perdit un peut l'equilibre mais ne tomba pas contrairement a la jeune fille qui lui était rentré dedans. Paris lui envoya un regard méprisant. Elle était a ses pieds. C'était peut etre l'endoirt qui lui convenait le mieu a cette gourde d'asticot. Elle dit alors :

Escuse moi Kate.

Bien sur les escuse n'était pas pour cette jeune fille. Comme de toute façon Paris aurait pu savoir que cet asticot s'appeller Kate aussi. C'est alors quand la regardant mieu il lui semblat l'avoir déjà vu quelque part. En effet il sembla a Paris que cette fille était l'une des Parisiennes qu'elle avait vu a l'université. Si Paris voulait être consacré nouvelle reine de New York il fallait qu'elle se face des alliées de detroner Azure et avant detruire Lexia. ceoendant avant de tenter quoi que se soit elle attendait que cette fille lui offre de escuse pour lui avoir foncé dedans. Une chose aurait plus a Paris a cete instant. C'était de marcher sur les mains de cette gourde avec ses talons aiguilles de 8 centimetres afin d'y faire des trous. Après sa mains elle serait passer a son beau visage. Enfin beau. Il n'était pas moche mais bon...

Kate leva son regard et s'aperçut que la jeune fille qu'elle venait de bousculer, n'était autre que la fille qui avait des vues sur son mec. Kate ne voulait pas provoquer de bagarre ou d'embrouille dès son arrivée. Donc, elle décida à contre coeur, de se montrer docile. Elle se releva essayant les saletés qui se trouvaient sur son jeans Lewis tout neuf. Puis se tourna vers la jeune fille, elle devait bien se comporter par ne pas faire passer les français pour des mal-élevés.

-Excuse moi, je ne t'avais pas vu.

Elle essaya de se montrait le plus poli possible, pour ne pas laisser ce qu'elle ressentait

* Tue la/ tais toi, je t'ai pas sonné toi*

Elle attendit la réponse et la réaction de la jeune américaine.

Paris la regarder de toute sa hauteur. La Parisienne sur le sol lui faisait déjà degout. C'est alors qu'elle se releva et essuya des poussieres sur son jean levis. Paris avait envie declater de rire. Un jean Levis ? Paris observa le modéle. Elle se retint de ne pas éclater de rire Paris bien sur porté du Levis de temps a autre mais pas du prêt a porter Ce qu'elle m'était était unique fait spécilement pour elle Ce que portait cette fille c'était le même modéle que ce que portait surment une mère de famille d'une douzaine de marmot, grasse comme une truie au Texas ou encore un vieille de 40 touteridé et le cul plein de celulite après être allé tous les jours chez Macdo. Ce qui devait surment être l'un des deux future qui s'offrait a cette fille. Paris se demandait si cette... chose venait vraiment de la capitale de la mode. Elle portait d'affreuse chose. u'elle horrible gout. Et dire que toute les plus grande maison de couture son française. Et dire que Dior, Yves saint laurent et bien d'autre était français et avait de si bon gout lors que ça ! Que cette fille n'avait pas un gramme de gout. Quel horreur ! Qu'elle honte pour la France. Elle pensée a tous cela quand la larves s'excusa. Paris ne lui jeta pas un regard plein de mépris. Elle resta neutre. Enfin jusque la. Elle reparla ensuite a Kate Middleton au téléphone :

Je te laisse Kate. Mes amitié à William et Harry. A Elisabeth aussi si tu la voit. Et n'oublie pas de m'envoyer un mail pour me dire si Pierre Casiraghi vient lui aussi a la récéption... Très bien Bye.

Elle raccrocha ensuite. Pendant toute s conversation elle avait essayer de garder son calme. Cette fille venait de lui dire qu'elle ne l'avait pas vu. Non mais comme si elle était transparente, voir insignifiante. Paris aurait bien voulu la pousser encore afin qu'elle reprenne sa vrai place. Celle de larve a ses pieds. Mais Paris fille d'une des plus grand comédienne du monde possédé le même tament que sa mère. Elle afficha donc un sourire tout en rangeant son portable dans son sac a mains.

Ho c'est rien cela ne dois pas être facile de se reperer dans un nouvelle ville et de s'y faire.

De nouveau un sourire digne des plus grand commédienne du monde vint se loger sur ses magnifiques lèvres rosées naturelement. Elle pooursuivit ensuite son discourt hipocryte :

Si je me souviens bien tu es l'une des Parisiennes arrivées il y a peux n'est ce pas.

C'est alors que son portable sonna de nouveau. Elle le regarda furtivement et vit que c'était encore Kate Middleton. Quel pot de colle cette futur Lady Di. Paris ne répondit pas et atentid que son interlocutrice, la larve, cette gourde de parisienne lui réponde. Mais L'autre Kate, l'anglaise insisté vraiment. Paris répondit alors. Mais en faite ce n'était pas Kate mais son amant le prince William. Paris afficha un sourie et ecouta attentivement son ami avan de finir par dire :

Très bien William je serait présente. Tiens ta prommesse ! Si Jamais tu ne la tien pas, peut importe que tu sois prince d'Angleterre ou Prince des égout de Londres, je t ele ferai payer... Très bien. mais amitiés a lui aussi. Aurevoir.

Paris était au ange, William lui avait promis une surprise de taille si elle venait a la reception de sa fiancée. Elle en avait meme oublier l'alien qui se trouver devant elle. mais ou sont donc les predatore quand on a besoin d'eux ? Même eux son plus agréable a regarder que ça ! Paris Se forca donc interieurement a reprendre son role de princesse modéle genre, Diana, aprés tous c'était son future métié, et de proposé ses services a cette petite choses ridicule.

A moi de m'excuser. Un coup de filS important. NOus disions donc ? Ha ... Voudrais tu que je te face visiter la ville et que je te montre les plus belles boutiques ? Jepeux voire àa la façon dont tu es habillé que tu aimes te vestire correctement et donc faire du shopping.

Un nouveau sourire vitn encore se poser sur ses lèvres. Bien sur que Paris aller l'aider. Elle 'lammenerait dans le genre de magasin qui lui convient. Des boutiques pouilleuse en somme.

Kate souria, enfin elle fit un faux sourire parfaitement réaliste à Paris. Cette dernière lui dit que cela ne devait pas être facile de bébarquer dans une nouvelle ville et dans un nouveau lycée. Paris avait bien évidemment reconnu Kate comme étant l'une des parisiens arrivés depuis peu à New-York.

-Tu as une bonne mémoire, je suis bien l'une des Parisiennes, tu es Paris si ma mémoire ne me fait pas faux bon.

Elle plongea son regard dans celui de la jeune fille quand le portable de cette dernière sonna, elle répondit. Kate fit un petit sourir, l'air de dire, elle passe sa vie au téléphone ou quoi. Puis elle entendit le nom de William et les mots prince d'Angleterre. Sa "rivale" américaine serait-elle une amie de la famille royale anglaise, apparemment c'était le cas.
Paris lui lança le sujet du shopping, si elle aimait faire du shopping alors ça oui.

- Quelle fille n'aime pas le shopping!

Elle sentit son portable vibrer dans sa poche, elle le sortit et regarda qui pouvait bien l'apeller: le mot maman s'afficher sur l'écran. Elle décrocha et parla en français.

-Oui.... oui maman tout vas bien..... Oui je suis bien arrivé, ne t'inquiète pas... L'appartement, il est super merci beaucoup..... Il me plait oui, au faite comment va Thibault.... ok, tu lui passera le bonjour de ma part.... Non je suis en train de visiter la ville...... D'accord je te rapelle se soir.... Bisous.

Elle racrocha, sa mère s'inquiètait vite, cela la fesait rire, elle reposa son regard sur l'américaine, et elle s'exprima dans un anglais parfait, elle parlait cette langue depuis l'âge de 6 ans.

-Désolé ma mère.

Elle se rapella de la question de la new-yorkaise, elle lui avait proposé de lui faire visiter la ville et de lui montrer les plus belles boutiques.

-Je suis d'accord pour que tu me fasses découvrir la ville, en ce qui concerne les boutiques j'avais prévue de les faire avec mes soeurs de coeurs demain, donc désolé mais peut-être une autre fois, ce serait avec plaisir.

Kate trouva qu'elle y allait un peu fort, mais Thomas avait été clair, il ne voulais pas qu'elle se fasse des ennemis alors qu'elle était à peine arriver. Il avait peur pour elle, décidemment c'était le petit copain parfait.

Paris écouta la réponse de la trés chére Parisienne. Non mais pour qui se prennait elle pour refuser son invitation au shopping. Il sembla la diamant que la jeune femme n'avait aucune idée de qui se dresser devant elle. Non elle nen avait aucune idée... Paris cependant ne se laissa pas démonté et lui adressa toujours un sourire :

Ho trés bien... Alors que voudrais tu visité en premier ?

Paris la regard avec toujours un sourire sur les lèvres. Mais au fond elle boullait de ridiculiser cette petite Parisienne.